
Pour Le Veilleur du Jour, j'ai rapidement jeté l'éponge. Vingt pages de style hyper-ampoulé m'ont fait freiner des quatre fers et déguerpir à reculons et à plein régime. Pour Spin, ç'a été plus délicat, mais globalement c'est l'angle d'attaque de l'auteur qui m'a posé problème. D'après les avis tirés çà et là sur le net, on adhère ou pas au style de Wilson plutôt porté sur la petite histoire derrière la grande. Je sais à présent que lui et moi, ça ne le fait pas.
Pas de chronique pour ces deux romans, donc, mais la possibilité malgré tout d'échanger sur ces bestiaux qui m'auront donné bien du fil à retordre. Abandonner un livre n'est jamais chose facile - surtout quand comme ceux-ci ils sont plutôt bien côtés sur la blogosphère - alors si vous avez d'autres avis à faire entrer dans l'équation, je suis preneuse !
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